Herbert Ward
Autor: | Sarita Ward |
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EAN: | 9782383710165 |
eBook Format: | ePUB |
Sprache: | metaCatalog.groups.language.options.français |
Produktart: | eBook |
Veröffentlichungsdatum: | 18.11.2021 |
Untertitel: | Artiste et homme d'action |
Kategorie: | |
Schlagworte: | Explorations Première guerre mondiale histoire de l'Afrique sculpture |
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Sarita Stanford (1860-1944) était la fille aînée du millionnaire anglo-américain Charles-Henry Stanford qui, après avoir fait fortune en Argentine, faillit ruiner la Barings Bank dans le krach de 1890. Elle rencontra Herbert Ward sur un paquebot faisant route vers New York. L'attirance fut immédiate et réciproque, et quelques mois plus tard, ils étaient mariés. Les 30 années qui suivirent, elle les consacra à être Madame Ward. Elle nous présente ici la biographie tendre et discrète d'un mari aimé et admiré. (Édition annoté)
Herbert Ward (1863-1919) a vécu trois vies : aventurier et explorateur en Nouvelle-Zélande et en Australie, puis membre d'une expédition de Stanley au Congo, une expérience qui le marqua à jamais. De retour en Europe il se maria et entama une carrière de conférencier, mais surtout d'artiste : peintre et sculpteur reconnu, il se fixa en France, à Paris et Rolleboise, où le rattrapa la première guerre mondiale. Malgré ses multiples obligations et la lourde charge d'une famille de cinq enfants, il se porta volontaire au sein du comité anglais de la Croix-Rouge française, qui l'envoya au front, dans les Vosges, pour participer à la récupération des blessés. Se dépensant sans compter malgré une santé de plus en plus chancelante, il finit par mourir d'épuisement, à cinquante-six ans.
Herbert Ward (1863-1919) a vécu trois vies : aventurier et explorateur en Nouvelle-Zélande et en Australie, puis membre d'une expédition de Stanley au Congo, une expérience qui le marqua à jamais. De retour en Europe il se maria et entama une carrière de conférencier, mais surtout d'artiste : peintre et sculpteur reconnu, il se fixa en France, à Paris et Rolleboise, où le rattrapa la première guerre mondiale. Malgré ses multiples obligations et la lourde charge d'une famille de cinq enfants, il se porta volontaire au sein du comité anglais de la Croix-Rouge française, qui l'envoya au front, dans les Vosges, pour participer à la récupération des blessés. Se dépensant sans compter malgré une santé de plus en plus chancelante, il finit par mourir d'épuisement, à cinquante-six ans.