La Résurrection de Rocambole - Tome I - Le Bagne de Toulon - Antoinette
Autor: | Pierre Ponson du Terrail |
---|---|
EAN: | 9789635245239 |
eBook Format: | ePUB |
Sprache: | metaCatalog.groups.language.options.français |
Produktart: | eBook |
Veröffentlichungsdatum: | 22.06.2015 |
Kategorie: |
0,86 €*
Versandkostenfrei
Die Verfügbarkeit wird nach ihrer Bestellung bei uns geprüft.
Bücher sind in der Regel innerhalb von 1-2 Werktagen abholbereit.
Peut-être du fait du relatif insuccès de l'épisode précédent, Ponson du Terrail nous propose, sans aucune explication (pour le moment), une nouvelle version parallèle de Rocambole : retour au bagne de Toulon où Rocambole purge sa peine sous le numéro 117. Et, il n'est plus défiguré... Il est devenu le chef de criminels repentis, qui lui sont aveuglément dévoués, et a pour assistante une baronne polonaise, Vanda, qui lui est passionnément soumise, de même que Milon, une refonte du Chourineur des Mystères de Paris. Ces personnages se retrouveront dans l'ensemble de la série.
La première « mission » de Rocambole au service du bien, est de protéger deux jeunes filles, Antoinette et sa sœur Madeleine, des griffes de Karle de Morlux et de son frère Philippe qui leur ont volé leur fortune.
Rocambole - alias le major Avatar - rencontre à nouveau Baccarat - la comtesse Artoff - qui finit par accepter qu'il soit passé du côté de la justice et du bien, en particulier lorsqu'elle le voit consentir au mariage de Madeleine, qu'il aime, à Yvan Potenieff, en butte à la jalousie meurtrière de la Comtesse de Wasilika Wasserenoff. Elle lui dit alors à l'oreille : « Rédemption ! »
Dans La vengeance de Wasilika, Rocambole manifeste l'intention de se suicider, mais Milon et Vanda réussissent à le convaincre qu'il mérite de vivre. Il apprend que le fils de Blanche de Chamery (cf Les Exploits de Rocambole) a été kidnappé. Il finira par le libérer, mais non sans être blessé à mort. À la fin de cet épisode, Milon dit « Rocambole est mort ! », ce à quoi Vanda réplique : « Dieu ne le permettra pas : Rocambole vivra ! »