Le Joueur (grands caractères)
Autor: | Fiodor Dostoïevski |
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EAN: | 9782335061291 |
Sachgruppe: | Belletristik |
Sprache: | Französisch |
Seitenzahl: | 176 |
Produktart: | Kartoniert / Broschiert |
Veröffentlichungsdatum: | 20.01.2015 |
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Le Joueur, écrit par le célèbre écrivain russe Fiodor Dostoïevski, est un roman captivant qui plonge le lecteur dans l'univers sombre et passionnant du jeu. Publié en 1867, ce livre met en scène Alexeï Ivanovitch, un jeune homme qui se retrouve pris au piège de sa passion dévorante pour le jeu. L'histoire se déroule dans une petite ville allemande où Alexeï est employé comme précepteur chez une famille russe fortunée. Alors qu'il est témoin des jeux de hasard auxquels se livrent les membres de cette famille, il se laisse peu à peu entraîner dans cet engrenage dangereux. Pris dans une spirale infernale, il se retrouve rapidement accro au jeu, prêt à tout pour satisfaire sa soif de victoire. Le roman explore les thèmes de l'addiction, de la cupidité et de la folie qui accompagnent souvent le monde du jeu. Dostoïevski, lui-même joueur compulsif, offre une analyse profonde de la psychologie humaine et de ses faiblesses face à la tentation. À travers les personnages complexes et tourmentés, l'auteur dépeint avec réalisme les conséquences désastreuses que peut avoir cette obsession. Le Joueur est un roman puissant qui captive le lecteur dès les premières pages. Avec sa plume incisive et son talent pour décrire les émotions les plus intenses, Dostoïevski nous offre une réflexion profonde sur les vices de l'homme et les limites de sa volonté. Ce livre, dans sa version grands caractères, permet à tous les lecteurs de profiter pleinement de cette ¿uvre incontournable de la littérature russe. Impression en « gros caractères ». Extrait : "Je suis revenu de mon absence de deux semaines. Les nôtres étaient depuis trois jours à Roulettenbourg. Je pensais qu'ils m'attendaient avec Dieu sait quelle impatience, mais je me trompais. Le général me regarda d'un air très indépendant, me parla avec hauteur et me renvoya à sa s¿ur. Il était clair qu'ils avaient gagné quelque part de l'argent. Il me semblait même que le général avait un peu honte de me regarder."