Le féminisme et le patriarcat, le rôle médiateur de la réligion

Travail d'étude de l¿année 2011 dans le domaine Etudes de Genre, Ludwig-Maximilians-Universität München (Fakultät fuer Sprach- und Literaturwissenschaften), cours: Oriental and Gender Studies, langue: français, résumé: La lute entre le matriarcat et le patriarcat est un phénoméne contemporain et universel. Le débat l¿homme contre la femme et vice versa était meme de temps immemorial. De toute éternité la femme a été donnée le role scondaire dans la famille, dans l¿emploi; au pouvoir socio-politique et économique, grace aux réligions mondiales, surtout la chrétienté, l¿Islam et le judaïsme. Ces réligions les écritures saintes, marquant les roles et les places prépondérantes particuliérement reserves aux homes aux dépens des femmes. Disons que, dés lors, toute culture, toute philosophie, toute science; bref, toute la société saintes, dont la Bible, le Koran et le pentateuque ont devenu la mise en évidence pour la soutenance de toute exploitation et de toute oppression de la femme. Aristote, lui-même selon Nussbaum(1995:481) avait donc constaté que: Women and slaves were not full-fledged human beings[¿]; and since his politics were based on his view of human functioning, the failure of these beings to exhibit the desired mode of functioning, contributed to their political exclusion and oppression. En revanche il exist une école masculiniste qui lutte pour la libération de l¿homme. D¿aprés ce groupe, « c¿est la femme qui est le chef « Denyse Plummer, le chanteur Trinidadien de calypso); « La plupart des hommes sont controllées par les femmes » (Patti Boulaye, l¿actrice nigériane expatriée)(cf.Vilar 1972:10); ou bien dans des mots du Chinweizu (1990:9): Women let men work for them, think for them and take on their responsibilities, in fact, they exploit them. Leur argument est surtout que le but du chaque recherche pour le pouvoir est la capacité d¿acquérir le bien qüon désire. Les femmes obtiennent toujours ce qüelles désirent; donc les femmes sont tres puissantes. Seulement, leurs tactiques pour obtenir leurs désirs sont diamétralement opposées à celle de l¿homme. L¿example de Jean Baptiste et Hérodias, la femme de Herod dans la Bible est toujours citée. Sigmund Freud, dans ses etudes (Freud 1963;37-38) de la psyché humaine, a signalé que: ¿in the greater number of ambitious day dreams, too, we can discover a woman in some corner, for whom the dreamer performs all his heroic deeds, and at whose feet all his triumphs are to be laid. Quand même lorsque l¿homme se trouve à la poursuite de la richesse, du pouvoir, de la renommée et du rang social, c¿est toujours pour le but de gagner l¿amour de la femme. [...]