Mémoires Posthumes d'un déporté
Autor: | André Hartmann, Joël Hartmann |
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EAN: | 9782322494057 |
eBook Format: | ePUB |
Sprache: | metaCatalog.groups.language.options.français |
Produktart: | eBook |
Veröffentlichungsdatum: | 29.04.2024 |
Kategorie: | |
Schlagworte: | Guerre Mémoire Sachsenhausen biographie déportation |
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André Hartmann, déporté à Sachsenhausen de mai 1943, a livré tardivement ses mémoires. "Pour que la mémoire se transmette", il nous a livré un manuscrit et quelques témoignanges avec une consigne ferme : "Ce que j'écris, l'est d'un trait, au fur et à meure de souvenirs et de mémoire. Donc nulle refonte ni correction ; C'est écrit comme je l'ai vécu (ou survécu !) " Mais le poison instillé au sein de cet enfer a continué à agir au plus profond de son être, à le torturer durant toute sa vie. Aussi, ce travail de mémoire devait être complété par le témoignage des séquelles moins visibles : l'impact sur un être humain cabossé, sur sa vie au quotidien, ses phobies, sa relation aux autres, jusqu'à ses proches.
André Hartmann, à été déporté à Sachsenhausen de mai 1943 à mai 1945. Il n'a commencé à parler que cinquante ans après la fin du cauchemar et à témoigner activement encore plusieurs années plus tard. "Je reprends mes souvenirs tels qu'ils me reviennent, sutout la nuit... J'en parle maintenant, assez peu, car beaucoup d'oreilles n'aiment pas en entendre parler." Jusque son lit de mort, quelques jours avant de s'éteindre, les hallucinations provoquées par la morphine peuplaient encore sa chambre d'hôpital de SS qui le persécutaient. La guerre, pour lui, a continué jusqu'à son décès le 8 juillet 2012
André Hartmann, à été déporté à Sachsenhausen de mai 1943 à mai 1945. Il n'a commencé à parler que cinquante ans après la fin du cauchemar et à témoigner activement encore plusieurs années plus tard. "Je reprends mes souvenirs tels qu'ils me reviennent, sutout la nuit... J'en parle maintenant, assez peu, car beaucoup d'oreilles n'aiment pas en entendre parler." Jusque son lit de mort, quelques jours avant de s'éteindre, les hallucinations provoquées par la morphine peuplaient encore sa chambre d'hôpital de SS qui le persécutaient. La guerre, pour lui, a continué jusqu'à son décès le 8 juillet 2012